Qui n’a pas usé des paires de basket au gré des tubes de Kool & The Gang ? Après la salvatrice piqûre de rappel administrée par l’ami Speedcat, histoire de rendre à ce groupe mythique la place qu’il mérite sur Groove Diggers, j’ai choisi l’album « Ladies’ night » qui marque un véritable tournant dans la carrière du groupe des frères Bell.
Nous sommes donc en 1979. Après une première moitié des 70’s au sommet, jalonnée d’exceptionnels classiques raw funk (Funky Stuff, Jungle Boogie, Spirit of the boogie, Hollywood Swinging…), onze albums studio et deux live ont fini d’asseoir la réputation du combo originaire du New Jersey.
Le virage disco n’a toutefois pas été parfaitement négocié, et malgré le gros succès d’Open Sesame (1976), les deux albums suivants, « The Force » (1977) et « Everybody’s dancing » (1978), n’ont pas rencontré le succès commercial escompté.
Les frères Bell entreprennent alors de recruter un nouveau chanteur vedette. C’est le ténor James J.T. Taylor, un instituteur, qui décroche la timbale. En quête d’un nouveau son, le groupe débauche également le jazzman, producteur et arrangeur brésilien Emir Deodato, qui dirigera leurs quatre albums suivants.
Nous sommes donc en 1979. Après une première moitié des 70’s au sommet, jalonnée d’exceptionnels classiques raw funk (Funky Stuff, Jungle Boogie, Spirit of the boogie, Hollywood Swinging…), onze albums studio et deux live ont fini d’asseoir la réputation du combo originaire du New Jersey.
Le virage disco n’a toutefois pas été parfaitement négocié, et malgré le gros succès d’Open Sesame (1976), les deux albums suivants, « The Force » (1977) et « Everybody’s dancing » (1978), n’ont pas rencontré le succès commercial escompté.
Les frères Bell entreprennent alors de recruter un nouveau chanteur vedette. C’est le ténor James J.T. Taylor, un instituteur, qui décroche la timbale. En quête d’un nouveau son, le groupe débauche également le jazzman, producteur et arrangeur brésilien Emir Deodato, qui dirigera leurs quatre albums suivants.
L’entreprise a tout du saut périlleux, mais si la transformation est radicale, l’alchimie prend instantanément. Tel le chat aux neuf vies, le groupe renaît de ses cendres avec un son plus pop et certes plus commercial, mais qui marquera au fer rouge des générations d’amateurs de musique de danse.
Porté par le tube planétaire que tout le monde connaît (#8 aux charts US) l’album contient deux autres pépites, avec l’immortelle romance « Too Hot » (#5 US) et le monstrueux « Hangin’ out ». Les trois autres plages, sans atteindre la même intensité, sont loin de faire tache.
En bref, un classique intemporel qui remet à leur place beaucoup de prétendues pièces. D’autres suivront jusqu’au milieu des années 80.
10 commentaires:
Oui Intemporel ce tube j'ai du le racheter le LP
dans une convention tellement je l'ai passé et j'ai meme le CD bref Kool&Gang c'est trop fort!!!!
said de lyon. que de temps passer... on enregistrai les musique a la cassette ferro chrome sur les ondes des radios francaises. les cd et vinyls etaient trop cher pour nous.
Excellent billet sur les Kool...
Encore ^^
bienvenue Said & Anonyme! Et oui des cassettes et des disques qu'on a usé et usé..
@ Basto ton commentaire n'apparaît pas c'est étrange..
ah ben si maintenant il apparaît pour moi, bizarre...
les influenceurs du funk 80 sont sur Groove Diggers !
Un des meilleur groupe funk de cette époque révolu.
Pas besoin de mettre 100€ dans un pièce. Chez kool and the gang c'est pas chère et qu est ce que c'est bon ^^
le genre de son indécrottable en soireé!
Salut a toute lequipe,
MOnstrueux Lp, gros fanatique du Tonights the night perso.
Biz de Montreal,
Le Sargi
@Le Sargistanais,
Alex, tu re passe quand tu veux. Travail bien et surtout éclate toi bien ^^
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